Gestion des conflits

Ken Thomas et Ralph Kilmann, professeurs de gestion à l’Université de Pittsburgh ont développé un modèle destiné à la gestion des conflits.

Bonjour

Vous êtes déjà un(e) facilitateur/trice en communication et vous voudriez apprendre à mieux communiquer à partir de méthodes de communication, la questiologie, le Clean Language, la Communication Non Violente voire l’Aïkido Verbal (prévu en 2023).

Nous vous rappelons que notre prochaine café webinaire se déroulera de 20h00 à 22h00 le vendredi 12 août 2022

Le café webinaire sera accessible à partir de 19h45 par le lien suivant :

https://us02web.zoom.us/j/2516254501?pwd=TFYwQlpzYjNQT2tRTXZ2NTJlTEZ0UT09

Code secret : brunotison

et se déroulera de la manière suivante :

Avant toute chose !

Merci d’être le plus possible à l’heure de façon à ne pas trop déborder dans le timing et prendre soin de nos énergies :slightly_smiling_face:

Leur modèle s’est imposé comme mode de gestion des conflits – il s’est vendu à plus de quatre millions d’exemplaires.

Thomas et Kilmann ont déterminé 5 attitudes que l’on peut adopter face à une personne en situation de conflit.

Selon Thomas et Kilmann (1972), deux titulaires de doctorat et enseignants chercheurs, on dénombre cinq attitudes/réactions possibles en situation de conflit, à savoir :

  1. La compétition, la Domination ou le Contrôle : l’une des parties tente d’instaurer un rapport de force en prenant le dessus sur l’autre et sur la situation. Les besoins de l’autre sont ignorés.
  2. L’accommodation ou la soumission : l’une des parties tente de satisfaire l’autre partie en mettant de côté ses propres besoins.
  3. L’évitement ou la fuite : l’une des parties craint la confrontation et mobilise son énergie pour éviter autant qu’il se peut l’affrontement.
  4. Le compromis : l’une des parties accepte de faire un pas vers l’autre, dans la perspective que l’autre fasse de même en retour. Finalement, chacune cède un peu et se trouve à la fois un peu gagnante et un peu perdant.
  5. La collaboration ou le consensus : les deux parties ont la volonté de trouver une solution respectueuse des besoins et des préoccupations de l’autre. Chacune sort gagnante de la situation.

La symbolisation employée par Ken Thomas et Ralph Kilmann,:

  1. Rivaliser

Le requin

  1. Céder

Nounours

  1. Eviter

La tortue

4 Chercher un compromis

Le Renard

5. Collaborer

La chouette

Question Clean Language

Adopter son comportement face à une personne en situation de conflit.

Et … qu’est-ce que cela signifie ?

Et … y a-t-il autre chose ?

Et … se passe-t-il autre chose ?

Et … qu’est-ce qui est important pour toi ?

Et … qu’est ce que tu aimerais qu’il se passe ?

Je résume la croyance

L’arbre du conflit.

Les branches : représentent toutes les conséquences du conflit, les effets, les symptômes du problème.

Le tronc : représente le conflit lui-même, l’enjeu primordial, le problème central.

Les racines : représentent les causes principales, les causes secondaires et les hypothèses.

NB: Lorsqu’un conflit perdure, les conséquences peuvent devenir de nouvelles causes d’autres conflits. Parfois la cause principale se confond aux conséquences et vice versa.

Sources Gérer les conflits: https://www.lepractice.fr/tristan-ebel-gestion-conflits-thomas-kilmann/

Pour me contacter : brunotison@gmail.com ou par téléphone : 06 11 05 39 60 ou 03 59 67 48 28